Poètes libertins.
Ta robe n’est plus un fourreau ou ton corps attirait les regards, ta féminité te ceignait, mais cela est une déraison pour toi actuellement, car tu n’es plus comme les Romaines qui portaient plus d’une demi-douzaine de dessous que les poètes libertins adoraient en chantant ta beauté avec émotion… Relève-toi !
Lucie