La matière éphémère.
Poésie revisitée
La matière éphémère.
Je suis moi voyageuse, je suis l’air de la terre ;
Envolée divine de mes ancêtres intemporels
Submergée de bonheur en recherche de moi-même,
J’ai trouvé mon moi en touchant là matière
Je danse en solo comme une mouette inquiète,
J’évite les trous noirs, et continue mon enquête
Je balaye d’ondes la page entière de mon poème,
Et tissent des leurres en appelant les prophètes
Je suis moi, voyageuse, je suis l’air de la terre
Les sociétés secrètes ont été mes ancêtres
Les odes maçonniques ont altéré mon futur si cher,
Mon sauvetage est bien dû à mon père céleste.
Lucie