Nouvelles. Infâme !
News. Infâme !
La police chinoise vient d'arrêter un homme suspecté d'avoir dépecé des humains, vendu leur chair comme de la viande d'autruche sur le marché et conservé leurs yeux dans des bocaux chez lui, a rapporté, vendredi 25 mai, la presse. Zhang Yongming, 56 ans, un villageois de la province du Yunnan, dans le sud-ouest de la Chine, a été arrêté à la fin d'avril dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'un jeune homme de 19 ans, a annoncé le site du Guangxi.. Les enquêteurs ont découvert à son domicile le téléphone portable et la carte bancaire de la victime.
Mais la police a expliqué redouter des découvertes macabres, dix-sept personnes ayant disparu sans laisser de traces récemment dans la région, dont certaines habitant à quelques centaines de mètres seulement de la maison de Zhang. "Zhang Yongming est un monstre cannibale", ont dit des habitants de son village cités par le site Internet, ajoutant avoir vu des sacs en plastique pendre devant sa maison, dont ils voyaient parfois sortir des ossements.
La police a découvert aussi, au domicile du suspect "des dizaines de globes oculaires conservés dans des bouteilles de spiritueux". Les enquêteurs ont également retrouvé des morceaux de chair, apparemment humaine, pendue dans la maison pour être séchée, selon le quotidien.
La police a indiqué qu'il était possible que Zhang ait nourri ses trois chiens avec de la chair humaine, dont il vendait aussi une partie sur le marché en la faisant passer pour de la viande d'autruche, ajoute le Standard. La police locale a refusé de s'exprimer, expliquant que les informations seraient communiquées "au moment venu".
Selon le site du Guangxi News, Zhang a déjà été condamné pour meurtre dans le passé et a effectué une peine de prison de près de vingt ans.
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Quand je pense que je cherche un beau chat roux tatoué qui s’est échappé, il y a deux jours, et que je suis entourée de chinois ! Je vais retourner sonner à leurs portes… Cela fait deux jours que je passe mon temps à le chercher, car je le gardais pour rendre service, il ne m’appartenait pas. Son maître ne le sait pas encore...La galère.
Lucie-y